présentation du Centre AE-Esthétique

Redonner jeu­nesse et beauté pour retrou­ver le plai­sir, l’énergie et la joie de vivre, tel est le but que je me suis fixé en ouvrant mon centre de Médecine Morpho-esthé­ti­que et Anti-âge à Genève.

Persuadée que la qua­lité de votre trai­te­ment dépend essen­tiel­le­ment de la for­ma­tion et de l’expé­rience du pra­ti­cien, je me suis per­fec­tion­née pen­dant quatre ans dans le milieu uni­ver­si­taire pari­sien et exerce la méde­cine morpho-esthé­ti­que et anti-âge depuis de nom­breu­ses années.

Mon objec­tif est de vous offrir une gamme com­plète de soins, un maxi­mum d’infor­ma­tions et de sécu­rité dans la réa­li­sa­tion de ces actes dédiés à la beauté.

La méde­cine morpho-esthé­ti­que et anti-âge ne s’oppose pas à la chi­rur­gie esthé­ti­que sou­vent plus spec­ta­cu­laire et plus média­ti­que : elle est le trai­te­ment de choix lors de l’appa­ri­tion des pre­miers outra­ges du temps. C’est une méthode plus douce, plus adé­quate et sur­tout sans éviction sociale.

Certains désa­gré­ments comme la pilo­sité gênante et les taches cuta­nées sont acces­si­bles à la méde­cine esthé­ti­que qui a à sa dis­po­si­tion une tech­no­lo­gie moderne comme les lasers ou les IPL.

Médecins esthé­ti­ciens et chi­rur­giens col­la­bo­rent dans votre inté­rêt : il faut savoir « passer la main » pour un trai­te­ment plus adapté.

Selon l’Association Française de Médecine Morpho-esthé­ti­que et Anti-âge (AFMMEAA) « l’esthé­ti­que MEDICALE » va aug­men­ter for­te­ment jusqu’en 2015, alors que la chi­rur­gie ne repré­sente actuel­le­ment que les 12% des trai­te­ments à visée esthé­ti­que contre 34% il y a 4 ans.

Enfin, la méde­cine esthé­ti­que peut, après un bilan hor­mo­nal, pro­po­ser une hor­mo­no­thé­ra­pie de sub­sti­tu­tion chez le patient vieillis­sant.

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