bilan hormonal

A la fin de l’adolescence, notre vitalité et nos performances sont au maximum, tout comme notre taux hormonal. La plupart de ces hormones (DHEA, mélatonine
, estrogènes, progestérone
, testostérone
, hormone de croissance
, cortisol) chutent avec l’âge, mais cela dépend largement des individus.

Les symp­tô­mes liés à l’andro­pause et à la méno­pause sont bien connus : baisse de la libido, des per­for­man­ces sexuel­les, fati­gue, trou­bles de l’humeur, dépres­sion, trou­bles du som­meil, modi­fi­ca­tions de la peau et des che­veux, fonte mus­cu­laire, aug­men­ta­tion de la masse grasse.

Faut-il des sup­plé­ments d’hor­mo­nes ?

La remon­tée des taux hor­mo­naux atte­nue les symp­tô­mes et on est donc tenté de pra­ti­quer une sub­sti­tu­tion hor­mo­nale, au risque de tomber dans le dopage. Un dosage hor­mo­nal s’impose. Par contre il est inu­tile de d’uti­li­ser des hor­mo­nes s’il n’existe pas de trou­ble cli­ni­que évoquant une carence.

Il existe des alter­na­ti­ves natu­rel­les à l’hor­mo­no­thé­ra­pie, notam­ment la phy­to­thé­ra­pie. Si les plan­tes ne rem­pla­cent pas nos pro­pres hor­mo­nes, elles ont un effet "hor­mone like" en sen­si­bi­li­sant les récep­teurs hor­mo­naux ou en sti­mu­lant nos glan­des afin de relan­cer la pro­duc­tion de nos hor­mo­nes.

Pollution et hor­mo­nes
De nom­breu­ses sub­stan­ces pol­luan­tes ont des actions hor­mo­na­les néfas­tes sur notre santé. Elles sont issues des déter­gents, pes­ti­ci­des, engrais chi­mi­ques, colles, sol­vants, pein­tu­res, maté­riaux de cons­truc­tion. Il s’agit notam­ment de : phta­la­tes, de bis­phé­nols, d’alkyl­phé­nols, de dioxine et de les pes­ti­ci­des.

Traitement hor­mo­nal de la méno­pause et de l’andro­pause
Signée par l’arrêt des cycles mens­truels, la méno­pause est due à l’arrêt de pro­duc­tion d’oes­tro­gè­nes et de pro­ges­té­rone par les ovai­res. C’est cer­tai­ne­ment la chute hor­mo­nale liée à l’âge la plus sévère et la plus rapide. Les trou­bles liés à la méno­pause sont en géné­ral bien amé­lio­rés par l’admi­nis­tra­tion d’hor­mo­nes de sythèse. Le risque majeur est de sti­mu­ler un cancer géni­tal préexis­tant (sein, utérus). Aussi un examen gyné­co­lo­gi­que préa­la­ble de dépis­tage est indis­pen­sa­ble. 

L’andro­pause , moins évidente que la méno­pause, a long­temps été igno­rée, voire niée. La chute de tes­to­sté­rone est accom­pa­gnée des symp­tô­mes sui­vants :
 perte de libido et baisse des per­for­man­ces sexuel­les
, mau­vaise humeur, irri­ta­bi­lité, perte de confiance en soi
, ten­dance dépres­sive, trou­bles de la mémoi­re
, perte de la masse mus­cu­laire et aug­men­ta­tion de la masse grasse (sur­tout abdo­mi­nale)
, prise de poi­tri­ne
, fati­gue et baisse de force mus­cu­lai­re
, dou­leurs arti­cu­lai­res. La prise d’andro­gè­nes peut com­pen­ser la baisse de tes­to­sté­rone et amé­lio­rer les trou­bles cor­res­pon­dants.

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