cellulite

La couche grais­seuse la plus super­fi­cielle se trouve dans l’hypo­derme : Elle est orga­ni­sée en cham­bres grais­seu­ses sépa­rées entre elles par des tra­vées conjonc­ti­ves élastiques. C’est cette couche de graisse hypo­der­mi­que dont le méta­bo­lisme est prin­ci­pa­le­ment sous contrôle hor­mo­nal, qui est res­pon­sa­ble de la cel­lu­lite. On cons­tate :

• Une hypertrophie des lobes graisseux qui ralentit les échanges micro-circulatoires.
• Une dilatation des capillaires sanguins qui provoque une infiltration liquidienne interstitielle.
• La circulation lymphatique ralentie empêche l’élimination de l’œdème tissulaire.
• Les lobes graisseux se regroupent en amas encapsulés dans une coque fibreuse entraînant une perturbation prononcée des métabolismes adipocitaires.
• Le tissu conjonctif séparant les lobes graisseux s’épaissit, se durcit et se rétracte tirant sur ses points d’ancrage cutanés.

Les dif­fé­rents stades de la cel­lu­lite

• Stade 0 : pas de cellulite
• Stade 1 : légers creux à la surface de la peau. Le "test de pincement" est positif
• Stade 2 : creux et dépressions de la peau. La peau est lisse lorsque vous êtes allongée, mais présente un effet "peau d’orange" lorsque vous êtes debout.
• Stade 3 : creux et dépressions graves de la peau. Un effet "peau d’orange" est observé, que vous soyez debout ou allongée.

Le trai­te­ment de la cel­lu­lite est dif­fi­cile et jusqu’à pré­sent les trai­te­ment ont essen­tiel­le­ment été chi­rur­gi­caux. Les pro­grès de la méde­cine esthé­ti­que appor­tent de nou­vel­les métho­des, uti­li­sées seules ou plus volon­tiers en asso­cia­tion :

• Ondes de choc
• Mésothérapie

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